Antoine,
« Dès que le vent soufflera », mon copain, « Mon beauf », mon maître, je t’enverrai cette carte pour te dire à quel point tu es un ami exceptionnel.
Avec toi, c’est toujours une « Chanson pour Pierrot », un « Ch’timi Rock » endiablé et des soirées animées semblables à celles où nous étions « Etudiants (poil aux dents) ». Même avec nos « Cheveux blancs » qui apparaissent, notre amitié est plus forte que jamais. On a vécu tellement d’aventures ensemble, toujours poussés par un « Mistral gagnant » !
Si tu vois toujours « Manu », tu pourras lui dire que j’ai toujours « La tire à Dédé » et « Si t’es mon pote », tu pourras aussi lui dire que je serai toujours là pour vous comme vous l’avez été pour moi ; « Je suis une bande de jeunes » à moi tout seul, toujours prêt à tout. « Les mots » ne suffisent pas pour exprimer à quel point vous comptez pour moi.
Te souviens-tu du « Tango de Massy Palaiseau » ? On l’a dansé à en perdre haleine ; « Sans déc », j’étais « Fatigué » mais notre amitié étant indéfectible, j’ai tenu bon jusqu’au bout de la nuit. Pas comme sont « Morts les enfants » tombés de fatigue et endormis dans les bras de leurs mères.
Prêt à affronter tous les défis, et même « En cloque », je serai toujours là pour toi mon ami. « Le petit chat est mort » dans « Son bleu » petit lit mais rien ne remettra en cause notre amitié qui, elle, restera éternelle.
« Dans mon HLM », j’écoute souvent « La ballade irlandaise » que te chantait la petite blonde qui était « Morgane de toi ».
« Dès que le vent soufflera » tu sauras que je serais là, « toujours debout », à tes côtés.
Amitiés !